270PREFACE.
temps, puiſque le plan FN ſur le-
quel il ſe meut eſt égal au plan
DO, ſur lequel roule le grand.
quel il ſe meut eſt égal au plan
DO, ſur lequel roule le grand.
D’où quelques vns conclunt
qu’il n’y a point de ſi petit cercle
que l’on ne le puiſſe dire égal au
plus grand qui ſe puiſſe imaginer,
puis qu’il reſpõd à vn eſpace égal
Car pluſieurs croyent que les par-
ties du petit ne trainent point,
qu’elles ne froiſſent nullement le
plan, & que chaque point, & cha-
que partie de ſa circonference
touche ſeulemĕt à chaque point,
& à chaque partie du plan. Il faut
dire la meſme choſe du grand
cercle à l’égard du petit, lors que
le grand ſe meut par le mouue-
ment du petit, car le grand dimi-
nuë ſon chemin ſuiuant les traces
du petit, de ſorte que ſi le petit
ne fait qu’vn pied de Roy dans vn
tour, le grand qu@y qu’égal
qu’il n’y a point de ſi petit cercle
que l’on ne le puiſſe dire égal au
plus grand qui ſe puiſſe imaginer,
puis qu’il reſpõd à vn eſpace égal
Car pluſieurs croyent que les par-
ties du petit ne trainent point,
qu’elles ne froiſſent nullement le
plan, & que chaque point, & cha-
que partie de ſa circonference
touche ſeulemĕt à chaque point,
& à chaque partie du plan. Il faut
dire la meſme choſe du grand
cercle à l’égard du petit, lors que
le grand ſe meut par le mouue-
ment du petit, car le grand dimi-
nuë ſon chemin ſuiuant les traces
du petit, de ſorte que ſi le petit
ne fait qu’vn pied de Roy dans vn
tour, le grand qu@y qu’égal