Berzelius, Jöns Jakob
,
Essai sur la théorie des proportions chimiques et sur l' influence chimique de l' électricité
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DES PROPORTIONS CHIMIQUES.
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un seul atome de l’oxide électro-positif. </
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echoid-s1195
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preserve
">Mais,
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d’autre part, nous avons aussi tout sujet de
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croire que les atomes ne sont unis qu’un à un
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dans les corps qui ne manifestent que de faibles
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affinités; </
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echoid-s1196
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preserve
">tels que le gaz oxide de carbone, les
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oxidules de cuivre, de mercure, d’or, etc.</
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echoid-s1197
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preserve
">; en
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sorte que l’on pourrait bien présumer que tous
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/>
les corps composés d’un atome de radical et d’un
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/>
atome d’oxigène, ont, d’une manière plus ou moins
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prononcée, le caractère de sub-oxides. </
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echoid-s1198
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preserve
">D’ail-
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/>
leurs il paraît maintenant certain que les atomes
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des plus forts acides et des plus fortes bases con-
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/>
tiennent plus d’un atome d’oxigène. </
s
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<
s
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echoid-s1199
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preserve
">Le nombre
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/>
des atomes simples dans un atome composé, de-
<
lb
/>
vant nécessairement influer sur la forme de l’a-
<
lb
/>
tome composé, et par conséquent sur ses pro-
<
lb
/>
priétés, il est permis de croire que des oxi-
<
lb
/>
des qui contiennent le même nombre d’atomes
<
lb
/>
d’oxigène, ont au moins de commun quelques pro-
<
lb
/>
priétés générales qui les distinguent d’avec ceux
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lb
/>
qui en ont plus ou moins, et à l’aide desquelles,
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lb
/>
au défaut de toute autre donnée, on peut éta-
<
lb
/>
blir ses conjectures avec quelque probabilité.
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lb
/>
</
s
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<
s
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echoid-s1200
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="
preserve
">Ainsi, par exemple, lorsque nous avons su-
<
lb
/>
jet de présumer que les oxides qui ne contien-
<
lb
/>
nent qu’un atome d’oxigène sont ceux qui ont
<
lb
/>
les plus faibles affinités, il se présente toute une
<
lb
/>
série de bases salifiables plus prononcées, dans
<
lb
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lesquelles le nombre des particules </
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