Tesoro De Las Tres Lengvas Española, Francesca, Y Italiana, 1637

Table of contents

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[11.] SECONDE PARTIE DV THRESOR DES TROIS LANGVES, Françoise, Italienne ET ESPAGNOLE:
[12.] Fin de la ſeconde Partie.
[13.] TERZA PARTE DEL TESORO DELLE TRE LINGVE, ITALIANA, Franceſe, e Spagnuola. DOVE SONO LE VOCI ITALIANE dichiarate in Franceſe e Spagnuolo, per aiutar chi deſidera nelle tre ſudette lingue perfettamente comporre. HORA NVOVAMENTE POSTA IN luce, cauata da diuerſi Autori e Leſſicografi, maſſime del Vocabolaro della Crvsca.
[14.] A CHI LEGGE.
[15.] TERZA PARTE DEL TESORO DELLE TRE LINGVE, IT ALIANA, Franceſe, e Spagnuola. DOVE SONO LE VOCI ITALI ANE dichiarate in Franceſe e Spagnuolo, per ajutar chi deſidera nelle tre ſudette lingue perfettamente comporre.
[16.] I L FINE
[17.] AV ROY TRES-CHRESTIEN Henry II.
[18.] A Geneu@ Par Iean De Tovrnes. M. DCXVIII.
[19.] AV ROY.
[20.] ADVERTISSEMENT AVX LECTEVRS.
[21.] LA VIE DE VITRVVE, RECVEILLIE DE CES PROPRES ESCRITS PAR G. PHILANDER, ET maintenant miſe en François.
[22.] LES CHAPITRES DV PREMIER LIVRE.
[23.] Chapitres du ſecond Liure.
[24.] Chapitres du troiſieme Liure.
[25.] Chapitres du quatrieme Liure,
[26.] Chapitres du cinquieme Liure.
[27.] FIN DE LA TABLE.
[28.] VERTVS DE L’AR CHITECTE tirees de Vitruue.
[29.] PREMIER LIVRE D’ARCHITECTVRE DE MARC VITRVVE POLLION. PROEME DE L’AVTEVR. A CES AR AVGVSTE.
[30.] QVE C’EST QV’ARCHITECTVRE, & quelle doit eſtre l’institution des architectes. Chapitre Premier.
[31.] De quelles choſes eſt compoſee Architecture. Chap. II.
[32.] Figure de Philander monſtrant l’erreur de ceux qui mettent des modillons ou dentelles aux cornices Doriques.
[33.] Desparties d’architecture en la diſtribution des baſtiments pu-blies & priués: puis de la raiſon Gnomonique, c’eſt à dire reguliere ou demonſtratiue, enſemble de la ma-nifacture. Chap. III.
[34.] De l’election des lieux ſalutaires: quelles choſesnuiſent à la ſanté, & de quelles parties du Ciel faut receuoir dans les maiſons la lumiere du jour. Chap. IIII.
[35.] Des fondements des murailles. Chap. V.
[36.] Figure d’un bouleuard, tracé par Philander, & comme pour la pl{us} part on les fait pour le jour d’huy.
[37.] De la diuiſion des œuures qui ſont dedans l’enclos de la muraille, & de leur diſpoſition pour euiter les mauuais ſouf-ſlements des Vents. Chap. VI.
[38.] De l’election des lieux pour le commun vſage des habitans. Chap. VII.
[39.] SECOND LIVRE D’AR CHITECTVRE DE MARC VITRVVE POLLION.
[40.] PREFACE.
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153321DE VITRVVE. de l’autre, afin que ſi l’une eſtoit aſſaillie, les ennemis peuſſẽt eſtre
repouſſés à coups de traict, &
autres machines jectees des tours
qui ſeront à droit &
à gauche. Et la partie de chacune tour regar-
dãte deuers laville ou fortereſſe, doit auoir auſſi grãde eſpace, que
porte la ligne de ſon diametre.
Et pour paſſer de l’une à l’autre,
faut qu’il y ayt ſeulement des põts volans, ou plãches non clouë-
es ny attachees, à ce que ſi ledit ennemi occupoit quelque coſté
de la muraille, ceux qui luy reſiſterõt, la puiſſent regaigner en cõ-
battãt.
Et à la verité s ils y donnẽt bõ & brief ordre, jamais ne per-
mettrõt qu’il enfõſe dedãs les autres parties des tours &
de la mu
raille, s’il ne ſe vouloit d’auẽture jetter luy meſme du hauten bas.
Figure d’un bouleuard, tracé par Philander, & comme
pour la pl{us} part on les fait pour le jour d’huy.
20[Figure 20]
Il faut donc faire ces tours
rondes, ou de pluſieurs faces:
car ſi elles ſont quarrees, les
machines offẽſiues les en ruï-
nerõtbeaucoup pluſtoſt, pour-
ce que par force de heurter les
Beliers demoliſſent les angles
mais quand elles ſont en ron-
deur, ils n’y peuuẽt faire gue-
res de mal, ains ſeulemẽt chaſ-
ſent les pierres deuers le cẽtre
comme vn maillet pouſſe des
coins.
Pareillement lesdefẽſes
des tours &
des murailles cõ-
joinctes aux rampars, en ſont
beaucoup plus fortes &
mieux
aſſeurees, par ce que ny Beliers ny Mines, ny autres ſortes de ma-
chinations, ne les peuuent greuer.
Toutesfois il ne faut pas ſe mettre en peine de faire des rem-
pars en tous endroits, ains ſeulement à ceux où lon peut de quel-
que lieu haut par dehors la fortereſſe arriuer de plain pied pour
foicer la muraille.
A ceſte cauſe en lieux de telle qualité faut pre-
allablemẽt faire des trãchees fort larges &
profodes, puis ẽcores
cauer dedãs le fõdemẽt du mur, &
le faire de telle eſpaiſſeur, que
l’amas de terre mis deſſus pour Bouleuert, ſoit facilement ſouſte-
nu.
Dauantage le coſté de ce fondement, qui regardera deuers

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