Tesoro De Las Tres Lengvas Española, Francesca, Y Italiana, 1637

Table of contents

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[131.] Voyez la Sphere du monde.
[132.] De la practique pour faire les horloges ou Quadrans, enſemble de l’ombre des aiguilles au temps de l’Equinocce, c’eſt à dire quand la nuict eſt pareille au jour, & de quelle grandeur eſt ceſte ombre à Rome, & en aucuns autres païs. Chap. VIII.
[133.] De la raiſon des horloges, enſemble de leur vſage, & de leur inuention, meſmes par qui elle furent trouuees. Chapitre IX.
[134.] Ein du neufieme liure.
[135.] DIXIEME LIVRE D’ARCHITECTVRE DE MARC VITRVVE POL-LION TRAICTANT DES anciens & Machines. PREFACE.
[136.] Quelle choſe eſt machine, & de la difference qu’il y a entre Orga-ne & elle, meſmes de ſon commencement, inuenté par neceßité. Chap. I.
[137.] Des machines tractoires, ou propres à tirer gros fardeaux, tant pour maiſons ſacrees, que pour autres ouura-ges publiques. Chap. II.
[138.] De diuers noms propres aux machines, & la practique de les affuſter pour s’en ſeruir. Chap. III.
[139.] D’vne machine pareille à la precedente, mais à qui l’on peut pl{us} ſeurement fier des charges coloßicoteres, nonobſtant qu’il n’y ayt de changé ſinon le Moulinet à vn Tympan ou Treuil. Chap. IIII.
[140.] D’vne autre eſpece de machine tractoire, ou pour tirer far-deaux à mont. Chap. V.
[141.] Ingenieuſe inuention de Cteſiphon pour trainer gros fardeaux par terre. Chap. VI.
[142.] Comme fut trouuee la carriere dont fut baſti le temple de Diane en Epheſe. Chap. VII.
[143.] Des inſtruments appellés Porrectum, c’eſt à dire pouſſant auant, & rotondation ou roulement circulaire, propres à mou-uoir gros fardeaux. Chap. VIII.
[144.] Des eſpeces & genres d’organes propres à puiſer eau: & pre-mierement du Tympan. Chap. IX.
[145.] Des rouës & tympans propres à moudre farine. Capitre X.
[146.] De la limace ou pompe, dite cochlea, laquelle enleue grande abondance d’eau, mais non ſi haut comme la precedente. Cap. XI.
[147.] De la pompe de Cteſibius, laquelle enleue l’eau mer-ueilleuſement haut. Chap. XII.
[148.] Des engins hydrauliques, de quoy l’on faict les orgues. Chapitre XIII.
[149.] Comment & par quelle raiſon no{us} pouuons meſurer noſtre che-min, encores que ſoyons portés en charrette, ou que na-uiguions dedans quelque nauire. Chapitre XIIII.
[150.] Des catapultes ou grandes machines à lancer traicts, en-ſemble des Scorpions ou Bacules. Chap. XV.
[151.] Des arbaleſtes ou bricoles à fondes. Chap. XVI.
[152.] De la proportion des pierres qui ſe doyuent mettre en la fonde d’vne arbaleſte. Chap. XVII.
[153.] Du bandage des catapultes & arbaleſtes. Chap. XVIII.
[154.] Des engins pour defendre & offendre: mais en premier lieu de l’inuention du Bellier, & de ſa machine. Chap. XIX.
[155.] Preparation de la tortue commode à remplir foſſés. Chap. XX.
[156.] D’autres manieres de tortues. Chap. XXI.
[157.] Concluſion de toute l’œuure.
[158.] Diognet{us} a donné ce preſent au peuple, de la de ſpouille des ennemis.
[159.] Fin du dixieme & dernier liure de Vitruue.
[160.] DECLARATION DES NOMS PROPRES ET MOTS DIFFICILES CONTENVS EN VITRVVE.
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1788276NEVFIEME LIVRE apres le petit. Toutesfois Orion eſt là en trauers, ſubject & preſſé
de l’ongle du Centaure, qui tient en ſa main gauche vne Maſſue,
&
leue l’autre à l’encontre des Iumeaux.
La teſte du ſuſdit Centaure ſert de baſe ou plant au Chien qui
pourſuit le Lieure.
La Balene eſt au deſſous du Mouton & des Poiſſons, mais de ſa
creſte part vne ſubtile fuſion d’eſtoiles bien ordõnee, qui trauer-
ſe juſques aux deux Poiſſons, &
eſt icelle fuſion nommee en Grec
Hermidone, c’eſt à dire les delices de Mercure.
Outre tout celà le neud ou tortillement du Serpent, qui eſt par
vne longue trainee retourné en dedans, vient à toucher le bout
de la creſte d’icelle Balene.
Conſequemment il s’enſuit vn grand Fleuue d’eſtoiles, qui re-
preſente la figure de l’Eridan, maintenant dit le Pau:
& fait le
commencement de ſa ſource au deſſous du pied gauche d’O-
rion:
puis l’eau que lon dit eſtre eſpandue par l’Aquarius ou Ver-
ſeur d’eau, tumbe entre la teſte du Poiſſon Meridional, &
la queuë
de la Balene.
Voyez la Sphere du monde.
Ie penſe auoir ſuffiſamment expoſé, ſuyuant l’opinion de De-
mocrite Philoſophe naturel, les expreſſions des ſignes figurés &

formés par certaines eſtoiles, ainſi qu’il a pleu à Nature &
à la Pro-
uidence diuine les ordonner:
mais j’ay tant ſeulemẽt parlé de cel-
les dont nous pouuõs conſiderer les naiſſances &
decours, ou les
diſcerner à veuë d’œil:
car comme les eſtoiles du Septentrion, qui
tournoyent à l’entour de l’aiſſeau du ciel, jamais ne diſparoiſſent
ny ſe võt cacher ſous la terre, tout ainſi les autres qui rouënt en-
uiron le Pole du Midi (lequel à raiſon de la courbure ou ciroon-
ference du monde, eſt logé ſous la Terre) ſont occultes, &
n’y ont
aucun acceſſoire qui eſt cauſe que leurs figures ne ſont apparen-
tes ny congnues, au moyen de l’interpoſition dicelle Terre:
cho-
ſe dequoy nous peut rendre bonteſmoignage l’eſtoile de Cano-
pus ou Canobus, laquelle apparoit au bout du Gouuernail du Na-
uire dit Argo, car elle nous eſt incongnue en ces regiõs ſuperieu-
res, &
n’en ſçaurions parler ſinon par la relation des mariniers
traffiquans ſur les extremités du païs d’Egypte prochaines des
fins de la terre.

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