Berzelius, Jöns Jakob, Essai sur la théorie des proportions chimiques et sur l' influence chimique de l' électricité

Page concordance

< >
Scan Original
41 21
42 22
43 23
44 24
45 25
46 26
47 27
48 28
49 29
50 30
51 31
52 32
53 33
54 34
55 35
56 36
57 37
58 38
59 39
60 40
61 41
62 42
63 43
64 44
65 45
66 46
67 47
68 48
69 49
70 50
< >
page |< < (34) of 337 > >|
5434SUR LA THÉORIE avec un ou plusieurs atomes d’un autre; en
sorte que, dans la plupart des combinaisons,
l’un des éléments peut être représenté par
l’unité;
après cela, la proportion la plus
commune est celle de deux atomes d’un élé-
ment combinés avec trois atomes d’un autre
élément;
et dans les combinaisons que pré-
sente le règne minéral, formées par des
affinités très-faibles qui ont agi avec lenteur
et en repos, l’on rencontre quelquefois, dans
des atomes composés du troisième et du
quatrième ordre, trois atomes d’un corps unis
avec quatre atomes d’un autre.
Voilà les seuls
modes de combinaison qui nous soient encore
connus.
b) Ce que je viens de dire concerne principale-
ment les atomes élémentaires.
La combinaison des
atomes composés suit une autre loi, qui la restreint
dans des limites encore plus étroites.
J’observai
cette loi dans mes premières expériences sur les
proportions chimiques, et comme ensuite, dans le
cours de plusieurs années de travaux, je n’y avais
trouvé aucune exception, je la crus générale, J’a-
vais remarqué que, dans la com@inaison de deux
corps oxidés, le rapport entre eux est toujours
tel, que l’oxigène de l’un est un multiple par
un, deux, trois, etc.
, c’est-à-dire, par un nombre
entier, de l’oxigène de l’autre.
Si la combinaison
a lieu entre deux sulfures, le soufre de

Text layer

  • Dictionary

Text normalization

  • Original
  • Regularized
  • Normalized

Search


  • Exact
  • All forms
  • Fulltext index
  • Morphological index