6842NOUVELLE11DES POIDS
ſoutenus ſur
des ſurfaces.
ſoutenus ſur
des ſurfaces.
Les cas ou le point de concours de ces lignes de direction
ſe trouve encore dans ce poids, mais au-deſſous de ſon centre
de gravité, ſe réſoudront comme ceux des figures 33. 34. &
36. & ceux où il ſe trouvera debors, ſe réſoudront auſſi de
même, en regardant ſeulement ce point comme apparte-
nant à ce poids, de la maniére que nous avons fait en traitant
des poids ſoutenus avec des cordes ſeulement, figure 16. & 17.
Tout cela eſt aiſé; c’eſt pourquoy on n’exprime point ici les
figures de tous ces cas.
ſe trouve encore dans ce poids, mais au-deſſous de ſon centre
de gravité, ſe réſoudront comme ceux des figures 33. 34. &
36. & ceux où il ſe trouvera debors, ſe réſoudront auſſi de
même, en regardant ſeulement ce point comme apparte-
nant à ce poids, de la maniére que nous avons fait en traitant
des poids ſoutenus avec des cordes ſeulement, figure 16. & 17.
Tout cela eſt aiſé; c’eſt pourquoy on n’exprime point ici les
figures de tous ces cas.
On n’exprime point non plus la figure d’aucune ſurface
borizontale: parce que la ligne de direction de quelque poids
que ce ſoit, lui étant toujours perpendiculaire, il s’y ſoutient
de lui-même, & ſans le ſecours d’aucune puiſſance, par la
même raiſon qu’il en a beſoin, comme l’on vient de voir, pour
demeurer ſur quelque autre ſurface que ce ſoit. Cette propo-
ſition ne laiſſe pas cependant de s’étendre encore juſques-là,
comme on le verra dans les Corollaires 9. & 10. ainſi on
n’en peut pas concevoir une plus générale.
borizontale: parce que la ligne de direction de quelque poids
que ce ſoit, lui étant toujours perpendiculaire, il s’y ſoutient
de lui-même, & ſans le ſecours d’aucune puiſſance, par la
même raiſon qu’il en a beſoin, comme l’on vient de voir, pour
demeurer ſur quelque autre ſurface que ce ſoit. Cette propo-
ſition ne laiſſe pas cependant de s’étendre encore juſques-là,
comme on le verra dans les Corollaires 9. & 10. ainſi on
n’en peut pas concevoir une plus générale.
Corollaire I.
On voit des articles 3.
&
4.
de cette démonſtra-
tion que le poids EO ne peut-être ſoutenu par quel-
que puiſſance R que ce ſoit, ſur quelque ſurface
quece puiſſe être, à moins que la ligne AD ne tombe
perpendiculairement ſur cette ſurface, & qu’elle ne
paſſe en même temps par quelqu’un des points ou
ce poids touche cette même ſurface; c’eſt-à-dire,
par quelqu’un des points de la baze de ce même
poids.
tion que le poids EO ne peut-être ſoutenu par quel-
que puiſſance R que ce ſoit, ſur quelque ſurface
quece puiſſe être, à moins que la ligne AD ne tombe
perpendiculairement ſur cette ſurface, & qu’elle ne
paſſe en même temps par quelqu’un des points ou
ce poids touche cette même ſurface; c’eſt-à-dire,
par quelqu’un des points de la baze de ce même
poids.
Corollaire II.
Mais auſſi pour la même raiſon dés que l’un &