Varignon, Pierre, Projet d' une nouvelle mechanique : avec Un examen de l' opinion de M. Borelli sur les propriétez des poids suspendus par des cordes

Table of contents

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[101.] Corollaire XX.
[102.] Corollaire XXI.
[103.] Corollaire XXII.
[104.] Corollaire XXIII.
[105.] Corollaire XXIV.
[106.] Corollaire XXV.
[107.] PROBLEME.
[108.] Solution.
[109.] Demonstration.
[110.] Corollaire I.
[111.] Corollaire II.
[112.] Corollaire III.
[113.] Corollaire IV.
[114.] Corollaire V.
[115.] PROPOSITION FONDAMENTALE POUR TOUTES SOR TES DE LEVIERS,
[116.] Demonstration.
[117.] Corollaire I.
[118.] Corollaire II.
[119.] Corollaire III.
[120.] Corollaire IV.
[121.] Corollaire V.
[122.] Corollaire VI.
[123.] Corollaire VII.
[124.] Corollaire VIII.
[125.] Corollaire IX.
[126.] Corollaire X.
[127.] Corollaire XI.
[128.] Corollaire XII.
[129.] Corollaire XIII.
[130.] LEMME VI.
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8963MECHANIQUE. parallelogramme RS, en eſt plus grande, quoi qu’en
11DES
LEVIERS.
proportion différente;
mais elle ne peut pas pour
cela augmenter à l’infini:
car ne pouvant jamais être
plus grande que lors que cet angle eſt infiniment
obtus, c’eſt-à-dire, lors que les lignes de direction
de ces puiſſances concourent en une ſeule ligne
droite;
& la diagonale AG n’étant alors qu’égale à
la ſomme des côtez AR &
GR du parallelogramme
RS alors encore infiniment long;
la réſiſtance de cet
appui ne peut par conféquent être encore, toutau plus,
qu’égale à la ſomme des forces de ces deux puiſſances.
Corollaire IX.
Au contraire, plus cet angle OAX eſt aigu,
moins eſt grande la charge, ou la réſiſtance de l’ap-
pui B dece levier:
car plus cet angle eſt aigu, moins
eſt grande la raiſon de la diagonale AG aux côtez
du parallelogramme RS, quoi qu’en proportion dif-
férente;
mais elle ne peut pas non plus ainſi diminuer
à l’infini de même que nous venons de dire (Cor.
6.)
qu’elle le peut dans les leviers de l’eſpece exprimée
dans les figures 41.
& 42. Car ne pouvant jamais être
moindre que lors que cet angle eſt infiniment aigu,
c’eſt-à-dire, lors que les lignes de direction de ces
puiſſances deviennent parallel’es;
& le point G, qui
à meſure que cet angle devient plus aigu, s’approche
de plus en plus de la ligne AR, (fig.
43. & 44.)
ou AS (fig.
45. & 46.) entrant alors dans cette
ligne, AG demeure encore égale à la différence de
AR à AS;
& par conſéquent la charge, ou la réſiſ-
tance d’e l’appui B ne peut jamais être moindre que
la différence des forces des puiſſances E &
F.
Corollaire X.
D’où l’on voit en général 1°. que dans toutes

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