PREF ACE AV LECTEVR.
LEs Queſtions de ce Liure ne
ſont pas trop longues pour
ennuyer, ny ſi courtes qu’elles ne
faſſent voir les difficultez, qui ſe
rencontrent dans toutes les cho-
ſes que l’on ſe peut imaginer;
c’eſt pourquoy i’eſpere qu’elles
ſeront aſſez agreables à ceux qui
prendront la peine de leslire, &
qu’elles ſeront cauſe que plu-
ſieurs nous dõneront leurs expe-
riences, & qu’ils enrichiront le
public de leurs penſées, & des ſo-
lutions de pluſieurs doutes quiſe
ſont formez, ou que l’on leur a
propoſez. Neantmoins ſi qu’el-
qu’vn ſe plaint de leur briefueté,
il trouuera dequoy ſe ſatisfaire
dans l’autre traité des Preludes
ſont pas trop longues pour
ennuyer, ny ſi courtes qu’elles ne
faſſent voir les difficultez, qui ſe
rencontrent dans toutes les cho-
ſes que l’on ſe peut imaginer;
c’eſt pourquoy i’eſpere qu’elles
ſeront aſſez agreables à ceux qui
prendront la peine de leslire, &
qu’elles ſeront cauſe que plu-
ſieurs nous dõneront leurs expe-
riences, & qu’ils enrichiront le
public de leurs penſées, & des ſo-
lutions de pluſieurs doutes quiſe
ſont formez, ou que l’on leur a
propoſez. Neantmoins ſi qu’el-
qu’vn ſe plaint de leur briefueté,
il trouuera dequoy ſe ſatisfaire
dans l’autre traité des Preludes