Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of contents

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[121.] V. ADDITION.
[122.] Chap. X. De la Viz d’ Archimede pour ejieuer les eaux.
[123.] VI ADDITION.
[124.] Chap. XI.
[125.] ADDITION VII.
[126.] ADDITION VIII.
[127.] ADDITION. IX.
[128.] ADDITION. X.
[129.] A MONSIEVR, MONSIEVR DE BOVRGES CONSEILLER DV ROY, & Threſorier Payeur de Meſ-ſieurs les Threſoriers de Fran-ce à Orleans. MONSIEVR,
[130.] LES PRELVDES DE LHARMONIE VNIVERSELLE, OV QVESTIONS CVRIEVSES. Vtiles aux Predicateurs, aux Theologiens, aux Aſtrologues, aux Medecins & aux Philoſophes. Compoſees par le L.P.M.M.
[131.] A PARIS, Chez Henry gvenon, ruë S. Iacques, prés les Iacobins, à l’image S. Bernard. M. DC. XXXIV. AVEC PRIVILEGE ET APPROBATION;
[132.] PREFACE AV LECTEVR.
[133.] TABLE. DES QVESTIONS de ce Liure.
[134.] APPROEATION.
[135.] F. François de la Noüe Minime. F. Martin Herisse Minime. Quelques fautesde l’impreſſion des Preludes
[136.] PRIVILEGE DV ROY.
[137.] PRELVDES DE L’HARMONIE. QVESTION PREMIERE. Quelle doit eſtre la conſtit@tion du Ciel, ou l’horoſcope d’vn parfait Muſicien.
[138.] De la vie, du temperament, & de la propor- tion du corps du plus excellent Mu- ſicien qui puiſſe eſtre.
[139.] Te la profeßion, des mœurs, de l’eſprit, & de l’excellence du meſme Muſicien.
[140.] Raiſons contre la figure, & la natiuité precedente.
[141.] Reſponce à l’obiection prec@dente, & confir-mation du moſme Horoſcope.
[142.] COROLLAIRE I. L’ON DEMANDE SI LA PRO- feßion de ceux qui s’ employent à faire àes Horoſcopes & Natiuitez, & croient neantmoins que les Aſtres & influences celeſtes nous inclinent ſeulement, ſans ap- porter aucune neceßsité, eſt bonne & licite, ou bien meſchante ou illicite.
[143.] COROLLAIRE. II.
[144.] QVESTION II. Dans laquelle tous les principes de l’ Aſtrolo-gie Iudiciairt ſont examinez.
[145.] Proposition I. Qu’il ny a point de certitude dans les Horoſ-copes precedents, & que l’on ne peut rien predire de la perfection d’vn Muſicien par la conſtitution des cieux.
[146.] Proposition II. Les trois maiſons de la premiere triplicité ne ſont eſtablies par aucune demonſtration, ou rai, on qui pu ſſe perſuader la verité de ce que les Aſtrologues diſent de ces treis domiciles.
[147.] Proposition III. La ſeconde, latroiſieſme, & la quatrieſme tri-plicité ne ſont pas mieux eſtablies que la premiere.
[148.] Proposition IV. Determiner quelle vtilité l’on peut tirer des douze maiſons de l’Horoſcope pour les choſes ſpirituelles.
[149.] Proposition V. L’on ne ſçauroit predire aſſeurément les ma-ladies, ni les inclinations que quelqu’vn aura vices, aux vertus, & aux ſciences, ni quel ſera ſon temperament, par les re-gles ordinaires de l’Aſtrologie Iudiciaire.
[150.] COROLLAIRE I.
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11698Queſtions Phyſiques,
Qvestion XX.
A ſçauoir ſi l’on peut lire dans les aſtres par
le moyen des miroirs, & ſi l’on peut
connoiſtre les choſes futures
dans les Eſtoiles?
QVelques-vns ſe ſont imaginez
que l’on pouuoit lire dans la Lune
par le moyen de 2.
ou pluſieurs miroirs,
dont l’vn porte les characteres juſques
à cet aſtre, &
l’autre les reçoit par la re-
flexion de ladite Lune, &
les renuoye
à l’œil;
Agrippa s’eſt vanré dans ſes li-
ures d’en ſçauoir le ſecret, &
pluſieurs
autres diſent qu’on a fait ſçauoir des
nouuelles bien ſecretes par ce moyen,
à ceux qui eſtoient bien éloignez;
mais
s’ils parlent toutà bon, ils ſe trompent
lourdement, car encore que l’on peuſt
enuoyer l’õbre, ou la lumiere des cha-
racteres que l’on forme ſur les glaces
des miroirs auec de la cireou du papier,
&
que la Lune fuſt vn corps ſi poli,
qu’elle peuſt renuoyer les meſmes cha-
racteres juſques à terre, &
ſur

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