Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of contents

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[141.] Reſponce à l’obiection prec@dente, & confir-mation du moſme Horoſcope.
[142.] COROLLAIRE I. L’ON DEMANDE SI LA PRO- feßion de ceux qui s’ employent à faire àes Horoſcopes & Natiuitez, & croient neantmoins que les Aſtres & influences celeſtes nous inclinent ſeulement, ſans ap- porter aucune neceßsité, eſt bonne & licite, ou bien meſchante ou illicite.
[143.] COROLLAIRE. II.
[144.] QVESTION II. Dans laquelle tous les principes de l’ Aſtrolo-gie Iudiciairt ſont examinez.
[145.] Proposition I. Qu’il ny a point de certitude dans les Horoſ-copes precedents, & que l’on ne peut rien predire de la perfection d’vn Muſicien par la conſtitution des cieux.
[146.] Proposition II. Les trois maiſons de la premiere triplicité ne ſont eſtablies par aucune demonſtration, ou rai, on qui pu ſſe perſuader la verité de ce que les Aſtrologues diſent de ces treis domiciles.
[147.] Proposition III. La ſeconde, latroiſieſme, & la quatrieſme tri-plicité ne ſont pas mieux eſtablies que la premiere.
[148.] Proposition IV. Determiner quelle vtilité l’on peut tirer des douze maiſons de l’Horoſcope pour les choſes ſpirituelles.
[149.] Proposition V. L’on ne ſçauroit predire aſſeurément les ma-ladies, ni les inclinations que quelqu’vn aura vices, aux vertus, & aux ſciences, ni quel ſera ſon temperament, par les re-gles ordinaires de l’Aſtrologie Iudiciaire.
[150.] COROLLAIRE I.
[151.] COROLLAIRE II.
[152.] COROLLAIRE III.
[153.] QVESTION III.
[154.] COROLLAIRE I.
[155.] COROLLAIRE II.
[156.] COROLLAIRE III.
[157.] QVESTION IV. A ſçauoir ſi le temperament du parfait Muſi-cien doit eſtre ſanguin, phlegmatique, bi-lieux, ou melancholique, pour eſtre capable de chanter, ou de compvſer les plus beaux airs qui ſoient po{ſS}ibles.
[158.] COROLLAIRE I.
[159.] COROLLAIRE. II.
[160.] QVESTION V. Quelle deit eſtre la capacité, & la ſcience d’vn parfaict Muſicien.
[161.] Qvestion VI. A ſçauoir ſile ſens de l’ouye doit eſtre le iuge de la douceur des ſons, & des concerts, ou ſi cet office appartient à l’entendement.
[162.] Qvestion VII. A ſçauoir s’il eſt expedient d’vſer du genre Chromatic, & de l’Enharmonic, ou ſi l’on doit ſe content@r du Diatonic; & ſi l’on peut reduire œs trois genres en Pratique.
[163.] Qvestion VIII. A ſçauoir ſi les chordes parfaitement, égal@s eſtant tirées d’vn mouuoment égal, on à vne force égale par les deux extremi-tez, ou par vne ſeule extremité ſe rom-proient, & par quel lieu elles ſe rom-proient
[164.] QVESTION IX. A ſçauoir pourquoy les Grecs ont pluſtoſt vsé des Tetrachordes ou des Quartes pour eſtablir la Muſique, que du Pentachorde, de l’Exachorde, ou de quelqu’autre nom-bre de chordes; où l’on void pluſieurs bel-les remarques ſur le nombre de 4. & où le 3. probleme de l@ 15. ſection d’Ariſtote eſt expliqué.
[165.] Qvestion X. A ſçauoir ſi les ſons forment les mœurs, com-me ſuppoſe Ariſtote dans le 27. Probleſ-me de la 19. ſection; & s’ils ſont plus propres à exciter les paßions de l’homme, que les couleurs, les ſaueurs, & les odeurs, & c. & pourquoy les ſons ont cette vertu, & cette puiſſance.
[166.] Qvestion XI. A ſçauoir comme il faut compoſer les chan-ſons, pour eſtre les plus excellentes de tou-tes celles qui ſe peuuent imaginer.
[167.] FIN.
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141123&Mathematiques. tier n’a fait de miroirs qui ayent l’effet
de ceux d’Archimede, ou de Proclus.
Les Dioptriciens, ou Lunettiers n’ont
peu rencontrer de lunettes à longue
veuë, quifaſſent voir les traits du viſa-
ſe de 7.
ou 8. lieuës, & qui ſeruent à
lire, ou à voir ce quieſt ſur la Lune, ou
ſur les auttes aſtres, encore que la ſciĕ-
ce leur enſeigne que l’õ peut repreſen
ter vn ciron auſſi gros qu’vne maiſon,
&
vne maiſon auſli petite qu’vn ciron.
Ceux qui deſirent ſçauoir ce que les
ancicns ont eu dauantage que nous dãs
les arts, &
ce que l’on a ttouué de nou-
ueau dans nos derniers ſiecles, peuuent
lire Pancirolle, quia fait deux volumes
ſur ce ſujet.
Qvestion XXVII.
Combien la pierre d’ Aymant a-clle de
proprictcz?
ENcore que nous ne puiſſions ſça-
uoir toutes les proprietez des corps
naturels, parce que nous ne ſçauons pas
le principe, &
la ſource d’où elles

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