Varignon, Pierre, Projet d' une nouvelle mechanique : avec Un examen de l' opinion de M. Borelli sur les propriétez des poids suspendus par des cordes

Table of contents

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[141.] Solution.
[142.] Corollaire I.
[143.] Corollaire II.
[144.] DE LA VIS REMARQUES. I.
[145.] II.
[146.] III.
[147.] IV.
[149.] PROPOSITION DE LA VIS.
[150.] Demonstration.
[151.] Corollaire I.
[152.] Corollaire II.
[153.] Corollaire III.
[154.] EXAMEN DE L’OPINION DE M BORELLI SUR LES PROPRIETEZ DES POIDS ſuſpendus par des cordes.
[155.] AVERTISSEMENT.
[156.] EXAMEN DE L’OPINION DE M. BORELLI Sur les propriétez des Poids ſuſpendus par des cordes.
[157.] ET AT DE LA QUESTION.
[158.] CHAPITRE I. SENTIMENT D’HERIGONE, DE STEVIN, &c. SUR LES PROPRIETEZ DES POIDS ſuſpendus par des cordes, Démontré par la propoſition même que M. BORELLI avoit cru leur être contraire.
[159.] Remarque.
[160.] CHAPITRE II. NOUVELLES DEMONSTRATIONS du ſentiment d’Hérigone, de Stévin, &c. Sur les propriétez des poids ſuspendus par des cordes. AVEC QUELQUES PROPOSITIONS de M. Borelli renduës par la méthode du Projet précédent beaucoup plus générales qu’elles ne le peuvent être par la ſienne.
[161.] AVER TISSEMENT.
[162.] Definition I.
[163.] Definition II.
[164.] PROPOSITION I.
[165.] Demonstrations.
[166.] Corollaire I.
[167.] Corollaire II.
[168.] Corollaire III.
[169.] PROPOSITION II.
[170.] Demonstration.
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149123DE M. BORELLI. proportionelle à la ſomme des ſublimitez, moins celle
11DES POIDS
ſoutenus avec
des cordes ſeu-
lement.
des profondeurs de tout ce qu’il y en a d’appliquées
à ce même poids.
Corollaire III.
D’où l’on voit que la ſomme de toutes ces puiſ-
ſances eſt à ce poids, comme la ſomme de leurs pro-
portionelles à la ſomme de leurs ſublimitez moins
celle de leurs profondeurs:
De ſorte que s’il n’y
en avoit que deux d’appliquées à chaque nœud
dont l’une tirât à droit &
l’autre à gauche, & que
toutes celles de chaque côté fuſſent égales entr’elles,
&
avec des directions paralleles entr’elles; la ſomme
(fig.
21.) des ſublimitez, par exemple F o, + F k, où
Ei + Eh, où Cb + Ca, &
c. des deux puiſſances ap-
pliquées au quel que ce ſoit des nœuds F, E, C, &
c.
ou bien la différence (fig. 22.) de la ſublimité de l’une
à la profondeur de l’autre, par exemple Fk,- Fo,
ou Eh - Ei, au Ca - Cb, &
c. étant alors la même
pour tous ces nœuds, auſſi-bien que les proportio-
nelles de ces puiſſances;
la ſomme de ces mêmes
puiſſances ſeroit alors au poids T, comme la ſomme
des proportionelles de deux d’entr’elles appliquées à un
même nœud, quel qu’il ſoit, eſt à la ſomme (fig.
21.)
des ſublimitez de ces deux puiſſances, où (fig.
22.) à la
différence qui eſt entre la ſublimité de l’une, &
la
profondeur del ’autre.
Corollaire IV.
Ce qui fait enfin voir que ſi toutes les puiſſances
Y, X, S, R, V, Z, &
c. étoient égales entr’elles, &
que toutes leurs directions fiſſent avec celle de ce
poids des angles égaux auſſi entr’eux, leur ſomme
ſeroit alors à ce même poids, (fig.
21.) comme une
de leurs proportionelles à une de leurs

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