Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

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            me diſpoſition que la ligne A H, à la-
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            quelle elle ſera parallele, ſi l’on y ad-
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            iouſte le lien N L pour ſouſtenir S D
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            par ſon centre de peſanteur, & </s>
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            adiouſte ſemblablement le lien M K
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            pour ſouſtenir la partie du cylindre C S
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            diſiointe d’auec S D, il n’y a nul doute
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            que ces deux parties demeureront en-
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            core en équilibre au point G. </s>
            <s xml:id="echoid-s4034" xml:space="preserve">Par où
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            l’on void que ces 2. </s>
            <s xml:id="echoid-s4035" xml:space="preserve">parties eſtant ainſi
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            ſuſpenduës, & </s>
            <s xml:id="echoid-s4036" xml:space="preserve">attachées ont vn mo-
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            ment égal, lequel eſt l’origine, & </s>
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            ſource de l’équilibre du point G. </s>
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            ſant que la diſtance G N ſoit d’autant
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            plus grande que la diſtance G M, que
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            la partie du cylindre E S eſt plus gran-
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            de dernonſtrer: </s>
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            gne H B, toute la ligne M N ſera la
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            moitié de toute la ligne A B, dont G B
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            eſt encore la moitié, de ſorte que M N
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            les ſi l’on oſte la commune partie G H,
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