Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Page concordance

< >
Scan Original
281 3
282 4
283 5
284 6
285 7
286 8
287 9
288 10
289 11
290 12
291 13
292 14
293 15
294 16
295 17
296 18
297 19
298 20
299 21
300 22
301 23
302 24
303 25
304 26
305 27
306 28
307 29
308 30
309 31
310 32
< >
page |< < (15) of 606 > >|
29315de Galilée Florentin. me diſpoſition que la ligne A H, à la-
quelle
elle ſera parallele, ſi l’on y ad-
iouſte
le lien N L pour ſouſtenir S D
par
ſon centre de peſanteur, &
ſi l’on
adiouſte
ſemblablement le lien M K
pour
ſouſtenir la partie du cylindre C S
diſiointe
d’auec S D, il n’y a nul doute
que
ces deux parties demeureront en-
core
en équilibre au point G.
Par
l’on
void que ces 2.
parties eſtant ainſi
ſuſpenduës
, &
attachées ont vn mo-
ment
égal, lequel eſt l’origine, &
la
ſource
de l’équilibre du point G.
en fai-
ſant
que la diſtance G N ſoit d’autant
plus
grande que la diſtance G M, que
la
partie du cylindre E S eſt plus gran-
de
que la partie S D.
Ce qu’il eſt ayſé
de
dernonſtrer:
dautant que la ligne
M
H eſtant la moitié de la ligne H A,
&
la ligne N H eſtant la moitié de la li-
gne
H B, toute la ligne M N ſera la
moitié
de toute la ligne A B, dont G B
eſt
encore la moitié, de ſorte que M N
&
B G ſont égales entr’elles: deſquel-
les
ſi l’on oſte la commune partie G H,
M
H ſera égale à G N.
Or nous auons deſia fait voir que
M
G eſt égale à H N.
D’où il

Text layer

  • Dictionary

Text normalization

  • Original
  • Regularized
  • Normalized

Search


  • Exact
  • All forms
  • Fulltext index
  • Morphological index