Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

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29820Les Mechaniques quent D n’eſt plus équilibre à raiſon
que la diſtance horizontale de D à C
eſt moindre que celle de B à C.
Chap. VI.
De la Romaine, de la Balance, & du Louier,
LE meſme principe qui a eſté expli-
qué dans le 4.
& le 5. chap. ſert en-
core pour entendre la nature de ces 3.
inſtrumens, dont le premier (que les
Latins appellent Statera, les Grecs
φάλαγξ Phalanx; &
que nous appellons
vulgairement la Romaine, le Crochet, le
Pezon, ou le Poids) eſt vtile pour peſer
toutes ſortes de fardeaux par le moyen
d’vn contrepoids mobile, que l’on nõ-
me le Pezon, &
que les Grecs appellent
αρτισύχωμα, σφαίρωμα, άρτήμα, &
les Latins
aquipondium.
Soit donc la Romaine B D, dont le
ſouſtien ſoit au point C, que les Grecs
appellent σωάρτιου, &
ύχομέχλιου, & les La-
tins agina, ſpartum, & anſa.
Que B ſoit
le fardeau que l’on veut peſer, &
D le
contrepoids.
Ie dis que s’il y a

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