Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of contents

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[Item 1.]
[2.] QVESTIONS PHY SICO-MATHE-MATIQVES. ET LES MECHANIQVES du ſieur Galilee tres excellent Ma-thematicien, & Ingenieur du Duc de Florence. AVEC LES PRELVDES del harmonie vniuerſelle. Vtiles aux Philoſophes, aux Medecins, aux Aſtrolognes, aux Ingènieurs, & aux Muſiciens. Traduites del Italien par L.P.MM.
[3.] APARIS, Chez Henry Gvenon, rue S. Iacques prèsles lacobins, à l’image S. Bernard. M DC. XXXV.
[4.] Auet Approbation & Pr@@ilege.
[5.] LES QVESTIONS THEOLOGIQVES, PHYSIQVES, MORALES, ET MATHEMATIQVES. Où chacun trouuera du contentement, ou de l’exercice. Compoſees par L. P. M
[6.] A PARIS, M. DC. XXXIV. Chez Henry Gvenon, ruë ſainct Iacques, prés les Iacobins, à l’ima-ge ſainct Bernard. Auec Priuilege & Approbation.
[7.] A MONSIEVR MONSIEVR MELIAN, THRESORIER General de France. MONSIEVR,
[8.] PREF ACE AV LECTEVR.
[9.] TABLE DES QVESTIONS deceLiure.
[10.] APPROBATION.
[11.] APPROBATION.
[12.] PRIVILEGE DV ROγ.
[13.] PREMIERE PARTIE DES QVESTIONS THEO-LOGIQVES, MORALES, Phyſiques & Mathematiques. QVESTION PREMIERE. Quelles ſont les principales curioſitez qui occupent les hommes?
[14.] COROLLAIRE
[15.] Qvestion II. D’où vient qu’il y a des bommes qui s’eſti-ment ſi ſçauans, & que les autres qui ſont plus ſçauans qu’eux s’eſti-ment ſi ignorans?
[16.] COROLLAIRE
[17.] Qvestion III. Eſt-il vray que l’Eſtain calciné, eſt plus peſant apres auoir eſté calciné, que lors qu’il eſt crud.
[18.] COROLLAIRE.
[19.] Qvestion IV. A ſçauoir ſi les corps peſans augmentent touſiours leur viſteſſe quand ils deſcen-dent vers le centre de la terre.
[20.] COROLLAIRE
[21.] Qvestion V Pourquoy la poudre de l’or, que l’on appelle fulminant, fait elle vn ſigrandbruit, quand elle ſent la chaleur?
[22.] COROLLAIRE.
[23.] Qvestion VI. Comment les metaux peuuent-ils s’engen-drer dans la terre, puis que le Soleilne penetre pas ſi auant?
[24.] COROLLAIRE.
[25.] Qvestion VII. Quelle eſt la plus grande portée des arque-buſes, & de l’artillerie, & en quelle proportion les boulets diminuent-ils leur force, & leur viſteſſe?
[26.] COROLLAIRE.
[27.] Qvestion VIII. Quelle eſt la ligne de direction qui ſert aux Mechaniques?
[28.] COROLLAIRE.
[29.] Qvestion IX. Peut-on donner laraiſon. de tout ce qui arrt-ue à la Romaine, & aux balances?
[30.] COROLLAIRE
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31739de Galilée Florentin. en haut à la poûtre, ou à la pierre H, de
27[Figure 27] ſorte que la force tirant la
chorde
du point B au point
I
, ou du point I au point F,
fait
monter le poids at-
taché
au mouffle, ou à la
quaiſſe
FE.
Or cette force
ne
doit pas eſtre moindre
qu’au
point A, dautant
que
les momens du poids,
&
de la force ſont ſe2; gale-
ment
diſtans du centre G,
car
B G eſt égal à G A, c’eſt
pourquoy
la poulie B A
n’augmente
pas la force.
il faut remarquer que
les
Italiens appellent oét inſtrument la
Taglia
, &
les Grecs, & les Latins Tro-
chlea
:
mais nous le nommons en Fran-
ce
Mouffles;
ce qui comprend l’armeu-
re
, ou la quaiſſe, qui ſert de boëte aux
poulies
, &
les poulies, & tout ce qui
ſert
pour la perfection de cette machi-
ne
:
on l’appelle auſſi écharpes armée de
poulies
.

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