Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of contents

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[31.] Qvestion X. D’où vient que les Romans, & les autres li-ures quine traittent pas des ſciences, ſont mieux vendus, que les liures qui parlent des ſciences, & qui demonſtrent pluſieurs choſes vtiles, & nouuelles?
[32.] COROLLAIRE.
[33.] Qvestion XI. Pourquoy les gens de lettre, c’eſt à dire les hommes ſçauans, ne paruienuent-ils pas pour l’ordinaire à de ſi grandes for-tunes, que ceux qui ſont vaillans, ou qui ont quelqu’autre addreſſe.
[34.] COROLLAIRE.
[35.] Qvestion XII. A ſçauoir ſi l’on peut trouner la vraye lon-gitude, ou la diſtance des Meridiens, tant ſur la mer que ſur la terre, pour l’vſage de la nauigation?
[36.] COROLLAIRE.
[37.] Qvestion XIII. Quelle eſt la choſe la plus admirable de tout le monde ?
[38.] COROLLAIRE.
[39.] Qvestion XIIII. D´où vient que la plus grande partie des bommes preferent l’argent, & le lucre à la ſcience, & à l’bonneſteté.
[40.] COROLLAIRE. I.
[41.] COROLLAIRE. II.
[42.] Qvestion XV. Peut-on inuenter, & faire vn mouuement perpetuel?
[43.] COROLLAIRE.
[44.] Qvestion XVI. La quadrature du cercle eſt-clle imp@ſiblc?
[45.] COROLLAIRE I.
[46.] COROLLAIRE II.
[47.] Qvestion XVII. Les Taliſmans, & les metaux, on les autres corps que l’on grane pour attirer les influences du Ciel, ont ils quelque verin particuliere?
[48.] COROLLAIRE.
[49.] Qvestion XVIII. Les Camaieux, o@Gamahez ont-ils quelque force, on quelque ſigniſication?
[50.] COROLLAIRE I.
[51.] COROLLAIRE. II.
[52.] Qvestion XIX. A quoy ſeruent les ſections Coniques, & quel peut eſtre leur vſage?
[53.] COROLLAIRE
[54.] Qvestion XX. A ſçauoir ſi l’on peut lire dans les aſtres par le moyen des miroirs, & ſi l’on peut connoiſtre les choſes futures dans les Eſtoiles?
[55.] Qvestion XXI. La lumiere oſt-elle viſible, & diſtincte des couleurs ? il eſt auſsi parlé des corps terrcſtres qui ont de la lumie-re en eux.
[56.] COROLLAIRE.
[57.] Qvestion XXII Quelles ſont les vertus occuites, & la ſyin-pathie, & antipathie, & d’où elles viennent.
[58.] Qvestion XXIII. D’où vient le grand contentement que l’on reçoit, lors que l’on croit auoir trouué quelque nouuelle demonſtration, ou verité?
[59.] Qvestion XXIV. pourquoy le chriſtal, le verre, le talc, la cor-ne, & pluſieurs autres corps ſont-ils diaphanes, ou tranſparens?
[60.] QvestionXXV. Le froid eſt-il ſeulement vne priuation de la chaieur, ou vn eſtre poſitif? ce que l’on peut eſtendrc à la lumicre, à l’o, nbre, & à pluſieurs autres choſes.
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3921& Mathematiques. dre deſſeichée quel’on tire dete@@e pie-
ce d’or que l’on veut:
parexemple, d’v-
ne piſtole, ou d’vn écu:
ce que l’on fait
ayſément en mettant premierement
l’or dans de l’eauregale, dans laquellc
il ſe diſſoutayſément, &
puis l’on verfe
del’huile de Tartre dedans pour le ſe-
parer d’auec ladite eau.
Et puis l’on
y verſe de l’eau toute pure, afin dele fai-
re precipiter apres qu’il a jetté toutes
ſes fumees, ſonfeu, &
ſafurie; & fina-
lement l’on verſe cette eau parinclina-
tion, afin de prendre la poudre qui ſe
trouue aufond, &
que l’on fait ſeicher
au feu, ou au ſoleil;
ce qui eſt ſi ayſé,
que l’on peut faire cette poudre dans
vne demie heure, ſans vier de feu, com-
me j’ay experimenté.
En 2. lieu, il fautremarquer quecet-
te poudre vatouſiours en bas, &
pouſ-
ſe ou rompt les cueilliers, &
les autres
corps ſur leſquels on la met, auſſi-toſt
qu’elle eft aſſez échauffée:
& lors qu’el-
le prend feu, elle luy donne, ceſemble,
vne couleur bluaſtre, &
féleue vn peu;
mais quand elle rencontre vn corps ſi
fort, &
fi dur qu’elle ne peutle rompre,
il eſt difficile de ſçauoir où elle va,

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