Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of contents

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[51.] COROLLAIRE. II.
[52.] Qvestion XIX. A quoy ſeruent les ſections Coniques, & quel peut eſtre leur vſage?
[53.] COROLLAIRE
[54.] Qvestion XX. A ſçauoir ſi l’on peut lire dans les aſtres par le moyen des miroirs, & ſi l’on peut connoiſtre les choſes futures dans les Eſtoiles?
[55.] Qvestion XXI. La lumiere oſt-elle viſible, & diſtincte des couleurs ? il eſt auſsi parlé des corps terrcſtres qui ont de la lumie-re en eux.
[56.] COROLLAIRE.
[57.] Qvestion XXII Quelles ſont les vertus occuites, & la ſyin-pathie, & antipathie, & d’où elles viennent.
[58.] Qvestion XXIII. D’où vient le grand contentement que l’on reçoit, lors que l’on croit auoir trouué quelque nouuelle demonſtration, ou verité?
[59.] Qvestion XXIV. pourquoy le chriſtal, le verre, le talc, la cor-ne, & pluſieurs autres corps ſont-ils diaphanes, ou tranſparens?
[60.] QvestionXXV. Le froid eſt-il ſeulement vne priuation de la chaieur, ou vn eſtre poſitif? ce que l’on peut eſtendrc à la lumicre, à l’o, nbre, & à pluſieurs autres choſes.
[61.] Qvestion XXVI. Des inuentions & des ſecrets que l’on re-cherche, ou que l’on deſire dauantage dans les arts, & dans les ſciences.
[62.] Qvestion XXVII. Combien la pierre d’ Aymant a-clle de proprictcz?
[63.] Qvestion XXVIII. Peut-on prouuer, ou confirmer les myſteres de la Religion Chreſtienne par les opera-tions, & les principes de l’ Alchymie?
[64.] COROLLAIRE. De la Cenſure de la Sorbonne, contre le liure de Kunrath.
[65.] La Sacrée Faculté de la Theologie de Paris, à tous les Cathθliques.
[66.] Qvestion XXIX. Puis qu’ileſt certain que le Soleil a beaucoup de taches, ou de macules, & de facu-les, qu’en peut-on inferer?
[67.] COROLLAIRE.
[68.] Qvestion XXX. Quelle vtilité peut-on tirer des lunettes de longue veuë pour les ſciences, & pour la vie?
[69.] Qvestion XXXI. Peut-on trouuer en France de la matiere pour entretenir le feu, & pour ſe chauffer ſans vſer de bois? & peut-on faire du ſalpe-ſtre par artiſice?
[70.] COROLLAIRE
[71.] Qvestion XXXII Sile ſel engraiſſe la terre, pourquoy les on-ciens ont-ils fait paroiſtre la malcdiction qu’il luy donnoient en ſemant du ſeldeſ-ſus pour la rendre ſterile?
[72.] COROLLAIRE.
[73.] Qvestion XXXIII. A quoy ſeruent les raiſons, & les propor-iions de la Geometrie? où l’on void la quadrature de la Parabole.
[74.] Qvestion XXXIV. Quelles raiſons a-t’on pour prouuer, & pour perſuader le mouucment de laterre, autour de ſon axc, dans l’eſpace de vingt-quatre heures?
[75.] COROLLAIRE I.
[76.] COROLLAIRE. II.
[77.] Qvestion XXXV. Pourquoy fait-il plus chaud à lſrs; Eſté quſrs; à lſrs;Hyuer, veu que le soleil eſt beaucoup plus proche de nous à lſrs; Hyuer quſrs; à lſrs; Eſté? & pourquoy fait-il froid à lſrs; ombre?
[78.] COROLLAIRE.
[79.] Qvestion XXXVI. Comment les nuës peuuent-elles nager, ou ſe pourmener dans lſrs;a@r ſans tomber, puis quſrs;elles ſont ſi peſantes?
[80.] Qvestion XXXVII. Qhelle raiſon peut on auoir pour croire que la terre ſe meut au tour du Soleil, que l’on met au centre du monde?
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5941& Mathematiques. exemple, ſi le contre-poids ne peſe
qu’v@e liure à vn poulce dudit point, il
peſ@ra cent mille liures à cent mille
poulces:
de ſorte que ce point empeſ-
che d’autant plus ſa peſanteur qu’il ſen
approche d’auantage, ſoit parce que le
contre-poids en eſt d’autant plus con-
traint, &
plus empeſché de deſcendre
perpendiculairement, cõme l’on prou-
ue par les angles que font les cercles
auec la ligne de directiõ, ou pour quel-
qu’autre raiſon que l’on ne ſçait pas.
Quoy qu’il en ſoit, cette obſeruation
nous peut faire ſouuenir, que le propre
poids de nos mauuaiſes in clinations eſt
dautant plus grand que nous nous éloi-
gnons dauãtage de la volonté de Dieu,
qui eſt le point fixe, lequel no9 dépoüil-
le d’autant plus de cette peſanteur qui
nous pouſſe á noſtre ruïne, que nous en
approchons dauantage par vn amour
reſpectueux qui nous rend ſi prompts
à l’obſeruance des Commandemens
diuins, que nous ne ſentons nulle pe-
ſanteur, parce que le contre-poids de
nos affections déreglées eſt ſouſtenu
par la crainte que nous auõs d’offenſer
la Souueraine bonté, &
par l’aſſiſtance

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