Varignon, Pierre, Projet d' une nouvelle mechanique : avec Un examen de l' opinion de M. Borelli sur les propriétez des poids suspendus par des cordes

Table of contents

< >
[41.] Corollaire X.
[42.] Corollaire XI.
[43.] Corollaire XII.
[44.] Corollaire XIII.
[45.] Corollaire XIV.
[46.] Corollaire XV.
[47.] Corollaire XVI.
[48.] Corollaire XVII.
[49.] Corollaire XVIII.
[50.] Corollaire XIX.
[51.] Remarque.
[52.] PROBLEME.
[53.] Solution.
[54.] Demonstration
[55.] PROPOSITION FONDAMENTALE DES POULIES,
[56.] Demonstration.
[57.] Corollaire I.
[58.] Corollaire II.
[59.] Corollaire III.
[60.] Corollaire IV.
[61.] Corollaire V.
[62.] Corollaire VI.
[63.] Corollaire VII.
[64.] Corollaire VIII.
[65.] Corollaire IX.
[66.] Corollaire X.
[67.] Corollaire XI.
[68.] Corollaire XII.
[69.] Corollaire XIII.
[70.] Corollaire XIV.
< >
page |< < (39) of 210 > >|
6539MECHANIQUE. que poids que ce ſoit, à quelque puiſſance que ce
11DES
POULIES.
puiſſe être, par le moyen d’une ſeule poulie à mouf-
fle:
en appliquant le moindre des deux au centre
mobile de cette poulie, &
le plus grand au bout libre
de la corde qui l’embraſſe.
La raiſon en eſt évidente
par les Corollaires 7.
& 8.
Remarque.
Il n’eſt pas cependant toujours néceſſaire de les
diſpoſer ainſi:
car s’il arrive que le plus grand des
deux ne ſoit point plus que double de l’autre, on ſera
libre d’appliquer celuy qu’on voudra au centre mo-
bile de la poulie A:
puiſque, qu’il y ſoit, (Cor. 8.)
ou non, (Cor. 7.) il peut toujours monter juſqu’à
être double de l’autre, mais jamais davantage:
(Cor. 8.)
ainſi lorſque l’un des deux (la puiſſance ou le poids)
fera plus que double de l’autre, il faudra néceſſai-
rement les appliquer ſuivant le Corollaire ci-deſſus;

c’eſt-à-dire, appliquer le moindre au centre du mouf-
fle dont on ſe ſert, &
le plus grand ou bout libre
de la corde qui embraſſe cette poulie à moufle.
22[Figure 22]

Text layer

  • Dictionary

Text normalization

  • Original

Search


  • Exact
  • All forms
  • Fulltext index
  • Morphological index