Bélidor, Bernard Forest de, La science des ingenieurs dans la conduite des travaux de fortification et d' architecture civile

Table of contents

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[189.] XI.
[190.] XII.
[191.] XIII.
[192.] XIV.
[193.] XV.
[194.] XVI. Conditions generales.
[195.] Premierement.
[196.] II.
[197.] III.
[198.] IV.
[200.] VI.
[201.] VII.
[202.] VIII.
[203.] IX.
[205.] XI.
[206.] XII.
[207.] XIII.
[208.] XIV.
[209.] XV.
[210.] XVI.
[211.] XVII.
[212.] XVIII.
[213.] XIX.
[214.] XX.
[215.] XXI.
[216.] XXII.
[217.] XXIII.
[218.] XXIV.
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67068LA SCIENCE DES INGENIEURS,
IV.
On fondera auſſi en même tems, & auſſi bas, les piliers buttans,
&
les murs de face ſous les deux pignons, en y obſervant toutes
les
bonnes façons, liaiſons, &
ſimetries que ci-devant; le tout poſé
en
bon mortier ordinaire, compoſé d’un tiers de bonne chaux
éteinte
toute vive, &
deux tiers du meilleur ſable bien battu,
démêlé
&
corroyé, en ſorte qu’il ne faſſe plus qu’un même corps,
&
mis en œuvre ſeulement vingt-quatre heures après, & le ra-
bottant
&
corroyant tout de nouveau, ſans y mettre de l’eau que
la
premiere fois.
VII.
Si le fond du terrain ſe trouvoit tendre, foible, ou douteux,
après
l’avoir ſondé avec la ſonde à tarriere, on le fortifiera par
une
grille de charpente de bois de chêne, compoſée de lon-
grines
&
racinaux de dix pouces quarrés aſſemblée par entailles
à
queuë d’aronde aux extremtiés par le devant &
le derriere, &
tenuës
en raiſon avec de bonnes chevilles de fer ébarbellées, en-
foncées
à tête perduë, après quoi les araſer de moilon ou libage,
comme
il eſt dit ci-devant.

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