Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of contents

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[11.] APPROBATION.
[12.] PRIVILEGE DV ROγ.
[13.] PREMIERE PARTIE DES QVESTIONS THEO-LOGIQVES, MORALES, Phyſiques & Mathematiques. QVESTION PREMIERE. Quelles ſont les principales curioſitez qui occupent les hommes?
[14.] COROLLAIRE
[15.] Qvestion II. D’où vient qu’il y a des bommes qui s’eſti-ment ſi ſçauans, & que les autres qui ſont plus ſçauans qu’eux s’eſti-ment ſi ignorans?
[16.] COROLLAIRE
[17.] Qvestion III. Eſt-il vray que l’Eſtain calciné, eſt plus peſant apres auoir eſté calciné, que lors qu’il eſt crud.
[18.] COROLLAIRE.
[19.] Qvestion IV. A ſçauoir ſi les corps peſans augmentent touſiours leur viſteſſe quand ils deſcen-dent vers le centre de la terre.
[20.] COROLLAIRE
[21.] Qvestion V Pourquoy la poudre de l’or, que l’on appelle fulminant, fait elle vn ſigrandbruit, quand elle ſent la chaleur?
[22.] COROLLAIRE.
[23.] Qvestion VI. Comment les metaux peuuent-ils s’engen-drer dans la terre, puis que le Soleilne penetre pas ſi auant?
[24.] COROLLAIRE.
[25.] Qvestion VII. Quelle eſt la plus grande portée des arque-buſes, & de l’artillerie, & en quelle proportion les boulets diminuent-ils leur force, & leur viſteſſe?
[26.] COROLLAIRE.
[27.] Qvestion VIII. Quelle eſt la ligne de direction qui ſert aux Mechaniques?
[28.] COROLLAIRE.
[29.] Qvestion IX. Peut-on donner laraiſon. de tout ce qui arrt-ue à la Romaine, & aux balances?
[30.] COROLLAIRE
[31.] Qvestion X. D’où vient que les Romans, & les autres li-ures quine traittent pas des ſciences, ſont mieux vendus, que les liures qui parlent des ſciences, & qui demonſtrent pluſieurs choſes vtiles, & nouuelles?
[32.] COROLLAIRE.
[33.] Qvestion XI. Pourquoy les gens de lettre, c’eſt à dire les hommes ſçauans, ne paruienuent-ils pas pour l’ordinaire à de ſi grandes for-tunes, que ceux qui ſont vaillans, ou qui ont quelqu’autre addreſſe.
[34.] COROLLAIRE.
[35.] Qvestion XII. A ſçauoir ſi l’on peut trouner la vraye lon-gitude, ou la diſtance des Meridiens, tant ſur la mer que ſur la terre, pour l’vſage de la nauigation?
[36.] COROLLAIRE.
[37.] Qvestion XIII. Quelle eſt la choſe la plus admirable de tout le monde ?
[38.] COROLLAIRE.
[39.] Qvestion XIIII. D´où vient que la plus grande partie des bommes preferent l’argent, & le lucre à la ſcience, & à l’bonneſteté.
[40.] COROLLAIRE. I.
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6951& Mathematiques. deux lieux aſſez éloignez l’vn de l’au-
tre
, de l’inſtant precis, auquel l’Eclipſe
de
la Lune commence, ou finit:
car la
difference
du temps du midy eſtant
conuertie
en degrez, monſtre la verita-
ble
diſtance des Meridiens;
d’autant
qu’à
l@égard de tous ceux qui ont la Lu-
ne
ſur l’horizon, elle entre veritable-
ment
, &
viſiblement en meſme temps,
c’eſt
à dire au commencement de l’E-
clypſe
, dans la pyramide de l’ombre de
la
terre, &
en ſort à la fin. Car encore
que
la Lune face parallaxe en cette po-
ſition
, neantmoins ce n’eſt pas à l’égard
de
l’ombre, dans laquelle elle eſt plon-
gée
, mais à l’égard de la region du Ciel,
qui
luy eſt ſuperieure, &
qui eſt plus é-
loignée
de la terre.
A quoy il faut ad-
jouſter
, que dans le paſſage de la Lune,
l’ombre
de la terre, &
elle, gardent vne
égale
diſtance d’auec la ſur-face de la
terre
, à l’égard de laquelle elles ne font
nul
parallaxe, mais elles paroiſſent par
tout
en meſme inſtant, ſouz la meſme
ligne
de viſion, comme font les choſes
contiguës
qui ſont les vnes ſur les au-
tres
.
Il y a encore vn autre moyen,

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