Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of figures

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7254Queſtions Phyſiques,
Or il faut preſuppoſer trois choſes
en ces obſeruatiõs, dont la premiere eſt
la connoiſſance aſſez preciſe de l’éle-
uation du pole ſur l’orizon où ſe fait
l’obſeruation.
La 2. eſt le tĕps, & l’heu-
re exacte de l’apparence, &
la 3. eſt vne
connoiſſance certaine des refractions
du lieu, où l’on obſerue:
leſquclles 3.
choſes eſtãt preciſémĕt connuës, con-
duiront infailliblement à la connoiſ-
ſance de la diſtance des Meridiens.
Car quant aux parallaxes, la con-
noiſſance en eſt aſſez certaine, &
ſont
égaux par toute la terre, lors que la
Lune eſt d’vne égale hauteur, ou du
moins la difference ne fait nulle erreur
ſenſible.
Mais la diuerſité des refra-
ctions rend les obſeruations ſuſpectes,
quandla Lune eſt proche de l’Orizon,
comme l’on remarque dans celles de
Mceſtlin excellent Aſtronome de Tu-
binge, qui remarqua l’an 1590.
le 7.
Iuillet, que le Soleil ſe leuoit enOrient,
lors que la Lune eclipſée de quelques
doigts eſtoit quaſi éleuée de 2.
degrez;
à l’Occident, &
lors que ſon centre ſe
couchoit, lc Soleil eſtoit éleué do deux
degrez.

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