Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of contents

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[71.] Qvestion XXXII Sile ſel engraiſſe la terre, pourquoy les on-ciens ont-ils fait paroiſtre la malcdiction qu’il luy donnoient en ſemant du ſeldeſ-ſus pour la rendre ſterile?
[72.] COROLLAIRE.
[73.] Qvestion XXXIII. A quoy ſeruent les raiſons, & les propor-iions de la Geometrie? où l’on void la quadrature de la Parabole.
[74.] Qvestion XXXIV. Quelles raiſons a-t’on pour prouuer, & pour perſuader le mouucment de laterre, autour de ſon axc, dans l’eſpace de vingt-quatre heures?
[75.] COROLLAIRE I.
[76.] COROLLAIRE. II.
[77.] Qvestion XXXV. Pourquoy fait-il plus chaud à lſrs; Eſté quſrs; à lſrs;Hyuer, veu que le soleil eſt beaucoup plus proche de nous à lſrs; Hyuer quſrs; à lſrs; Eſté? & pourquoy fait-il froid à lſrs; ombre?
[78.] COROLLAIRE.
[79.] Qvestion XXXVI. Comment les nuës peuuent-elles nager, ou ſe pourmener dans lſrs;a@r ſans tomber, puis quſrs;elles ſont ſi peſantes?
[80.] Qvestion XXXVII. Qhelle raiſon peut on auoir pour croire que la terre ſe meut au tour du Soleil, que l’on met au centre du monde?
[81.] COROLLAIRE.
[82.] Qvestion XXXVIII. Les principes, & les fondemens de l’Optique ſont-ils plus certains que ceux de la Muſique?
[83.] Qvestion XXXIX. De quelles matieres ſe ſeruent les Teintu-riers pour teindre la laine, ou le drap, & La ſoye de toutes ſortes de coubeurs ¿
[84.] COROLLAIRE I.
[85.] COROLLAIRE II.
[86.] Qvestion XL. Pourquoy l’haleine que l’on pouſſe du poul-mon, ſe void-elle plus aysément à l’Hyuer qu’à l’Eſté; & qu’eſt-ce que le vent?
[87.] Qvestion XLI. Eſt-il vray que de toutes les figures I ſoperi-metres de meſme nature, celle qui eſt la mieux ordonnée, & que de toutes les he-terogenes ordonnées, celle qui eſt la plus terminée eſt la plus grande?
[88.] COROLLAIRE.
[89.] Qvestion XLII. La blancheur eſt elle la plus excellente de toutes les couleurs?
[90.] COROLLAIRE.
[91.] Qvestion XLIII. Pcurquoy ics recreations que l’on prend en la preſence des maiſtres, & des ſupericurs ne ſont elles-pas ſi agreables que celles que l’on prond en leur abſcence?
[92.] Qvestion XLIV. Quia-il de plus not able dans les Dialogues que Galilée a faits du mouuement de la terre? cette queſtion contient tcut ſon premier Dialogue.
[93.] Qvestion XLV. Qui a-il de remarquable dans le ſecond Dialogue de Galilée.
[94.] COROLLAIRE.
[95.] Sentence contre Galilée, & contre ſes Dialo-gues du mouuement de la terre.
[96.] Qvestion XLVI. A ſçauoir ſi la Nature & les ſens ſe plaiſent à la varieté, & à la diuerſité des ob-iects, & pour quelles raiſons elle y prend plaiſir.
[97.] FIN.
[98.] LES MECHANIQVES DE GALILE’E MATHEMATICIEN & Ingenieur du Duc de Florence. AVEC PLVSIEVRS ADDITIONS rares, & nouuelles, vtiles aux Archite-ctes, Ingenieurs, Fonteniers, Phi-loſophes, & Artiſans. Traduites de l’Italien par L.P.M.M.
[99.] A PARIS, Chez Henry Gvenon, ruë S. Iacques, pres les Iacobins, à l’image S. Bernard. M. DC. XXXIV. AVEC PRIVILEGE ET APPROBATION.
[100.] A MONSIEVR MONSIEVR DE REFFVGE, CONSEILLER DV Roy au Parlement.
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8567& Matbematiques. de s’imaginer vne plus belle choſe au
monde que la lumiere, puis qu’il ſem-
ble que la beauté de toutes les autres
choſes depen@ d elle, du moins à noſtre
égard:
c’eſt pourquoy l’on excuſe or.
dinairement plus volontiers ceux qui
ont adoré la lumiere, que ceux qui ont
tendu des honneurs diuins aux plantes,
&
aux animaux.
Et puis ſa production imite celle des
choſes ſpirituelles, dautant qu’elle ſe
fait dans vn moment, &
ſe tire en
quelque maniere du ſort, &
de la por-
téee des autres agens corporels, qui ont
beſoin du mouuement local, &
du tĕps
pour agir.
D’ailleurs elle ſe porte à l’in-
fini, de ſorte que ſi l’on ramaſſoit toute
la lumiere d’vne chandelle qui éclaire
depuis la terre juſques au firmament,
l’on verroit auſſi clair ſur le concaue
dudit firmament, comme ſi l’on auoit
la chandelle dans la main.
V eritable-
ment c’eſt vne choſe admirable d’ex-
perimenter qu’vne petite eſteincelle
de feu, que l’on fait tomber en frappant
vn caillou, rempliſſe ſenſiblement tou-
te la ſolidité d’vne ſphere d’air de 20.
ou cent pieds de large, & que ſi

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