Mersenne, Marin; Galilei, Galileo, Qvestions physico-mathematiqves : et Les mechaniqves du sieur Galilee : avec Les Prelvdes de l' harmonie vniuerselle vtiles aux philosophes, aux medecins, aux astrologues, aux ingenieurs, & aux musiciens Les questions theologiques, physiques, morales, et mathematiques, 1635

Table of contents

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[81.] COROLLAIRE.
[82.] Qvestion XXXVIII. Les principes, & les fondemens de l’Optique ſont-ils plus certains que ceux de la Muſique?
[83.] Qvestion XXXIX. De quelles matieres ſe ſeruent les Teintu-riers pour teindre la laine, ou le drap, & La ſoye de toutes ſortes de coubeurs ¿
[84.] COROLLAIRE I.
[85.] COROLLAIRE II.
[86.] Qvestion XL. Pourquoy l’haleine que l’on pouſſe du poul-mon, ſe void-elle plus aysément à l’Hyuer qu’à l’Eſté; & qu’eſt-ce que le vent?
[87.] Qvestion XLI. Eſt-il vray que de toutes les figures I ſoperi-metres de meſme nature, celle qui eſt la mieux ordonnée, & que de toutes les he-terogenes ordonnées, celle qui eſt la plus terminée eſt la plus grande?
[88.] COROLLAIRE.
[89.] Qvestion XLII. La blancheur eſt elle la plus excellente de toutes les couleurs?
[90.] COROLLAIRE.
[91.] Qvestion XLIII. Pcurquoy ics recreations que l’on prend en la preſence des maiſtres, & des ſupericurs ne ſont elles-pas ſi agreables que celles que l’on prond en leur abſcence?
[92.] Qvestion XLIV. Quia-il de plus not able dans les Dialogues que Galilée a faits du mouuement de la terre? cette queſtion contient tcut ſon premier Dialogue.
[93.] Qvestion XLV. Qui a-il de remarquable dans le ſecond Dialogue de Galilée.
[94.] COROLLAIRE.
[95.] Sentence contre Galilée, & contre ſes Dialo-gues du mouuement de la terre.
[96.] Qvestion XLVI. A ſçauoir ſi la Nature & les ſens ſe plaiſent à la varieté, & à la diuerſité des ob-iects, & pour quelles raiſons elle y prend plaiſir.
[97.] FIN.
[98.] LES MECHANIQVES DE GALILE’E MATHEMATICIEN & Ingenieur du Duc de Florence. AVEC PLVSIEVRS ADDITIONS rares, & nouuelles, vtiles aux Archite-ctes, Ingenieurs, Fonteniers, Phi-loſophes, & Artiſans. Traduites de l’Italien par L.P.M.M.
[99.] A PARIS, Chez Henry Gvenon, ruë S. Iacques, pres les Iacobins, à l’image S. Bernard. M. DC. XXXIV. AVEC PRIVILEGE ET APPROBATION.
[100.] A MONSIEVR MONSIEVR DE REFFVGE, CONSEILLER DV Roy au Parlement.
[101.] TABLE DV LIVRE des Mechaniques. Chap. I. Dans lequel l’vsilité des Mechaniques eſt expliquée: Chap. II. Des definitions neceſſai-res pour la ſcience de la Mechanique. Chap. III. Des ſuppoſitions de cette ſcience. Chap. IV. D’vn principe general. Chap. V. Aduertiſſement ſur les diſ-cours precedens. Chap. VI. Du Tremeau, ou de la Romaine de la Balance & du Leuier. Chap. VII. Du tour de la Roue, de la Grüe & du Cabeſian & c. Chap. VIII. De la nature & de la force des Poulics. Chap. IX. De la viz. Chap. X. De la viz d’ Archimede qui ſert à éleuer l’eau. Chap. XI. De la force de la Percuſsion. Elpuis pluſieurs Additions.
[102.] LES MECHANIQVES DE GALILEE FLOREN-TIN, Ingenievr et Mathematicien du Duc de Florence. CHAPITRE PREMIER. Dans lequel on void la Preface quimonſtre l’vtilité des Machines.
[103.] Chap. II. Des definitions, neceſſaires pour la ſcience des Mechaniques.
[104.] Premiere definition.
[105.] Deuxieſme definition.
[106.] Troiſieſme definition.
[107.] Chap. III. Des ſuppoſitions de cet art. I. SVPPOSITION.
[108.] II. SVPPOSITION.
[109.] III. SVPPOSITION.
[110.] PREMIERE ADDITION.
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8668Queſtions Pbyſiques, n’eſt pas reſeruée dans vne chambre,
qu’elle rempliſſe toute la ſolidité du
mõde de tous les coſtez oùil ne ſeren-
contre nul corps opaque;
& finalement
qu’eſtant renfermée, cette infinie ca-
pacité ſoit bornée par vne eſpace de 4.
pieds, ce qui ne peut arriuer ſans vne
infinité de reflexions.
D’où il eſt ay ſé
de conclure qu’elle eſt la choſe la plus
admirable du monde, &
qu’il n’y a rien
entre toutes les choſes corporelles qui
nous repreſente la Diuinité plus viue-
mĕt que la lumiere, qui nous doit tou-
ſiours faire ſouuenir d’auoir recours à
celle du S.
Eſprit, ſuiuan@ la priere de
l´Egliſe,ô lux beatiſsima, reple cordis inti-
ma tuorum fidelium.
COROLLAIRE.
Encore que la lumiere du Soleil ſoit
treſ-excellente, &
admirable, comme
nous auons dit, neantmoins elle n’eſt
pas quaſi conſiderable à l’égard de l’ex-
cellence de la vie, ou du Principe de la
vie, qui anime les plantes, &
les ani-
maux;
& ie ne doute nullement que
sous les hommes ſeroient rauis,

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