Varignon, Pierre, Projet d' une nouvelle mechanique : avec Un examen de l' opinion de M. Borelli sur les propriétez des poids suspendus par des cordes

Table of contents

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[151.] Corollaire I.
[152.] Corollaire II.
[153.] Corollaire III.
[154.] EXAMEN DE L’OPINION DE M BORELLI SUR LES PROPRIETEZ DES POIDS ſuſpendus par des cordes.
[155.] AVERTISSEMENT.
[156.] EXAMEN DE L’OPINION DE M. BORELLI Sur les propriétez des Poids ſuſpendus par des cordes.
[157.] ET AT DE LA QUESTION.
[158.] CHAPITRE I. SENTIMENT D’HERIGONE, DE STEVIN, &c. SUR LES PROPRIETEZ DES POIDS ſuſpendus par des cordes, Démontré par la propoſition même que M. BORELLI avoit cru leur être contraire.
[159.] Remarque.
[160.] CHAPITRE II. NOUVELLES DEMONSTRATIONS du ſentiment d’Hérigone, de Stévin, &c. Sur les propriétez des poids ſuspendus par des cordes. AVEC QUELQUES PROPOSITIONS de M. Borelli renduës par la méthode du Projet précédent beaucoup plus générales qu’elles ne le peuvent être par la ſienne.
[161.] AVER TISSEMENT.
[162.] Definition I.
[163.] Definition II.
[164.] PROPOSITION I.
[165.] Demonstrations.
[166.] Corollaire I.
[167.] Corollaire II.
[168.] Corollaire III.
[169.] PROPOSITION II.
[170.] Demonstration.
[171.] Corollaire.
[172.] LEMME.
[173.] Demonstration.
[174.] PROPOSITION III.
[175.] Demonstration.
[176.] Autre Demonstration.
[177.] Corollaire.
[178.] Remarque.
[179.] PROPOSITION IV.
[180.] Demonstration.
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8761MECHANIQUE. gures particuliéres, parce qu’il ſuit ſi naturellement
11DES
LEVIERS.
du Corollaire 2.
qu’il n’y a perſonne qui ne le puiſſe
faire de ſoi-même.
Corollaire IV.
On voit de plus de cette propoſition que le point fixe
de ce levier, où bien ſon appui B eſt pouſſé de A vers
G ſuivant AG par l’impreſſion compoſée qu’il reçoit
du concours d’action de ces deux puiſſances, &
que
la réſiſtance qu’il leur fait, étant égale à cette même
impreſſion, eſt à la force de chacune d’elles (Lemm.
3. Cor. 3.) Comme la diagonale AG à chacun des
côtez du parallelogramme RS, qui les répréſen-
tent;
c’eſt-à-dire, que cette réſiſtance du point fixe,
où bien de l’appui B de ce levier, eſt à la force de la
puiſſance E, comme AG à AS;
& à celle de la puiſ-
ſance F, comme la même AG à AR.
Corollaire V.
D’où il ſuit que lors que l’angle OAX eſt infini-
ment aigu, c’eſt-à-dire, lors que les lignes de direc-
tion EX &
OF des puiſſances E & F ſont paralleles,
le point A étant alors infiniment éloigné de B, la
ligne AG, c’eſt-à-dire, (Cor.
4.) la direction de
l’appui B leur eſt auſſi parallele, &
toujours vers
l’endroit, où tendent ces deux puiſſances, lors qu’elles
tirent du même côté;
ou bien vers celui, ou tend la
plus proche de cet appui, lors qu’elles tirent de diffé-
rens cótez.
Corollaire VI.
Il ſuit encore du Corollaire 4. pour tous les leviers
22fig. 41.
42.
de l’eſpéce exprimée dans les figures 41.
& 42. que
plus l’angle OAX, que les lignes de direction des
puiſſances E &
F, font entr’elles, ſera obtus,

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