Galilei, Galileo, Les méchaniques, 1634

Table of figures

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[Figure 1]
[Figure 2]
[Figure 3]
[Figure 4]
[Figure 5]
[Figure 6]
[Figure 7]
[Figure 8]
[Figure 9]
[Figure 10]
[Figure 11]
[Figure 12]
[Figure 13]
[Figure 14]
[Figure 15]
[Figure 16]
[Figure 17]
[Figure 18]
[Figure 19]
[Figure 20]
[Figure 21]
[Figure 22]
[Figure 23]
[Figure 24]
[Figure 25]
[Figure 26]
[Figure 27]
[Figure 28]
[Figure 29]
[Figure 30]
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1chaniques. Or le leuier, dont nous
auons parlé, ſuppoſe que le poids ſoit
à l'vne de ſes extremitez, & la force à
l'autre; de ſorte que ſon ſouſtien doit
eſtre entre ſes deux extremitez.
Mais
ſi l'on met le ſouſtien à l'extremité du
leuier, & la force à l'autre extremité C,
& que le point D ſoit attaché à quelque
point du milieu: par exemple, au point
B, il eſt certain que ſi le poids eſt égale­
ment éloigné des deux extremes, com­
me quand il eſt au point F, que la force
qui le ſouſtient en F ſera également di­
uiſée: & par conſequent la moitié du
poids eſt ſouſtenuë par C, & l'autre
moitié par A.
S'il arriue que le fardeau ſoit attaché
ailleurs, par exemple en B, la force C
ſouſtiendra le fardeau en B, quand il
aura meſme proportion auec la dite for­
ce, que la diſtance AC à la diſtance BA.

Mais pour comprendre cecy, il faut
s'imaginer que la ligne BA ſoit prolon­
gee en G, & que les diſtances BA, AG
ſoient égales, & que le fardeau ſoit at­
taché au point C, & qu'il ſoit égal au
poids D, il eſt certain qu'à cauſe de l'é­
galité des poids E, D, & des diſtances

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