1me i'ay monſtré, & conſequemment
que ceux qui trauaillent à ſuppléer la
force, & le temps tout enſemble, ne
meritent nullement d'auoir du temps,
puis qu'ils l'employent ſi mal, comme
l'on verra à la ſuitte de ce traité.
que ceux qui trauaillent à ſuppléer la
force, & le temps tout enſemble, ne
meritent nullement d'auoir du temps,
puis qu'ils l'employent ſi mal, comme
l'on verra à la ſuitte de ce traité.
CHAP. II.
Des definitions, neceſſaires pour la ſcience
des Mechaniques.
des Mechaniques.
NOus commençons ce traité par les
definitions, & par les ſuppoſitions qui
ſont propres à cet art, afin d'en tirer les
cauſes, & les raiſons de tout ce qui ar
riue aux Machines, dont il faut expli
quer les effects, car chaque ſcience a ſes
definitions & ſes principes, qui ſont com
me des ſemences treſ-fecondes, deſ
quelles naiſſent toutes les concluſions,
& le fruict que l'on en pretend retirer,
Or puis que les Machines ſeruent ordi
nairement pour tranſporter les choſes
peſantes, nous commençons par la de
finition de la peſanteur, que l'on peut
auſſi nommer grauité.
definitions, & par les ſuppoſitions qui
ſont propres à cet art, afin d'en tirer les
cauſes, & les raiſons de tout ce qui ar
riue aux Machines, dont il faut expli
quer les effects, car chaque ſcience a ſes
definitions & ſes principes, qui ſont com
me des ſemences treſ-fecondes, deſ
quelles naiſſent toutes les concluſions,
& le fruict que l'on en pretend retirer,
Or puis que les Machines ſeruent ordi
nairement pour tranſporter les choſes
peſantes, nous commençons par la de
finition de la peſanteur, que l'on peut
auſſi nommer grauité.