Bélidor, Bernard Forest de, Nouveau cours de mathématique à l' usage de l' artillerie et du génie : où l' on applique les parties les plus utiles de cette science à la théorie & à la pratique des différens sujets qui peuvent avoir rapport à la guerre

Table of contents

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[11.] LIVRE VI, Qui traite des Polygones réguliers, inſcrits & circonſcrits au cercle.
[12.] LIVRE VII, Où l’on conſidere les rapports qu’ont entr’eux les circuits des figures ſem-blables, & les proportions de leurs ſuperficies.
[13.] LIVRE VIII, Qui traite des propriétés des corps, de leurs ſurfaces, & de leurs ſolidités.
[14.] LIVRE IX, Qui traite des Sections coniques. CHAPITRE PREMIER. Des propriétés de la Parabole.
[15.] CHAPITRE II, Qui traite de l’Ellipſe.
[16.] CHAPITRE III, Qui traite de l’Hyperbole.
[17.] LIVRE X, Qui traite de la Trigonométrie rectiligne & du Nivellement. Du calcul des triangles rectangles.
[18.] De la réſolution des triangles obtuſangles ou acutangles.
[19.] Problêmes de Trigonométrie applicables à la fortification.
[20.] Théorie & pratique du Nivellement.
[21.] LIVRE XI. Du Toiſé en général, où l’on donne la maniere de faire le toiſé des plans, # des ſolides, & de la charpente.
[22.] LIVRE XII, Où l’on applique la Géométrie à la meſure des ſuperficies & des ſolides.
[23.] LIVRE XIII, Où l’on applique la Géométrie à la diviſion des champs, & à l’uſage du # compas de proportion.
[24.] Uſages du compas de proportion.
[25.] LIVRE XIV. Du mouvement des corps, & du jet des bombes.
[26.] LIVRE XV, Qui traite de la méchanique ſtatique.
[27.] LIVRE XVI, Qui traite de l’Hydroſtatique & de l’Hydraulique.
[28.] Fin de la Table.
[29.] NOUVEAU COURS DE MATHÉMATIQUE, A L’USAGE DES INGÉNIEURS ET OFFICIERS D’ARTILLERIE. LIVRE PREMIER, Où l’on donne l’Introduction à la Géométrie. Définitions. I.
[30.] II.
[31.] III.
[32.] IV.
[33.] V.
[34.] VI.
[35.] VII.
[36.] VIII.
[37.] IX.
[38.] X.
[39.] XI.
[40.] XII.
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413DE MATHÉMATIQUE. Liv. I.
XII.
12. Le point eſt l’extrêmité d’un corps ou d’une ſurface,
ou
bien d’une ligne;
on le conçoit comme indiviſible, ou
ſans
dimenſion, c’eſt-à-dire qu’on ne lui attribue ni longueur,
ni
largeur, ni profondeur.
Ainſi le point ne peut être l’objet
de
la Géométrie, qui ne conſidere que l’étendue avec laquelle
il
n’a aucun rapport.
XIII.
13. La ligne droite eſt la plus courte de toutes celles que
l’on
peut mener d’un point A à un autre point B, comme
A
B.
D’où il ſuit, . qu’il n’y a qu’un ſeul chemin qui ſoit
le
plus court d’un point à un autre.
. Que deux points
ſuffiſent
pour déterminer la poſition d’une ligne droite.
.
Que ſi une ligne droite a deux points communs avec une
autre
ligne, elle ſe confond entiérement avec elle.
XIV.
14. La ligne courbe eſt celle qui n’eſt pas la plus courte
d’un
point à un autre, comme C D.
Il y a donc une infinité
de
lignes courbes qui peuvent paſſer par deux points, puiſqu’il
y
a une infinité de chemins qui ne ſont pas les plus courts.

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